CHOSES DE LA VIE
À la radio je écoute un chanson de Charles Trenet : Revoir Paris.
Prendre le temps dans un coin café avant l’heure de départ de la grève générale:
-Je boirais bien un verre de bière pendant que je regarde la télévision et écoute les commentaires de certains, quelques uns trouvaient sympathiques son insouciance de flambeur.
Lui derrier la façade du comédienne qu’il ne considérerai comme un échec grave de prendre les millions des autres, de nous, le peuple.
Nous nous regarderont avec fierté, les anciens, et nous voulons construire sur l’exercice patient de volontés. L’époque, notre époque, se situait à la saison des premiers neiges, nous marchons côte à côte.
Je retrouve le goût de ces matines glorieuses où je savais choisir la bonne place, là ou on laissait passer la police, indignes de figurer au tableau. Ils portaient la vulgarité des armes et des pièges, nous faisons une chasse royale à main nue. Cela devait fatalement mal finir!
Ce jour-là de l’hiver 2019, notre tactique était au point, j’ai cru que la grève général reussisait après un plus ou moins long temps et on se justifie avec plus ou moins de conviction.
À l’abri de cette sorte de complicité d’autant plus profonde, nous luttions au ralenti.
Il va nous faire un fois de plus le numéro de l’humble président de français, il s’arrangera pour nous faire comprendre qu’il connait plus que nous le dossier.
Chez nous les rescapés du suicide, sauvons que lui n’aime pas qu’on leur tosse au nez. Et nous construisons sur l’exercice patient de volontés.
Cependant il se sentait devant de quelque chose de fort et de sérieux avait fit éclore sur son visage morose s’évanouit peu à peu comme le crépuscule à horizon de nuit. Il rentra chez lui stupéfait.
On affirmait que depuis cette époque, a notre sens, cette pensée avait deux faces, que la pensée humaine en changeant de forme allait changer de mode d’expression, que l’idée capital de chaque génération ne s’écrirait plus de la même manière et de la même façon.