DÉBLAYER LE TERRAIN
Cette année, alors que le gens, sont dominées par la politique et les catastrophes, en dehors des catastrophes naturelles, nous avons également dû faire face au virus, et les dégâts fisiques ou financiers.
Les gouvernements ont mis une série de mesures draconiennes afin d’éviter qu’un tel débordement ne se répète. Les policiers on reçus instruction d’arrêter les gens au premier signe de désordre.
Le rêve social généralise n’est plus d’actualité. La place de l’individu, de la personne dans le collectif, cela peut se dire aussi quelqu’un en tous.
Le résultat , c’est vous, c’est moi, tous les humains. Pour faire oublier les galères sociales; celles des chômeurs, ou des licenciées, la liste est longue.
Les licenciements massifs sont baptisés gentiment ” plans sociaux”, si ce n’était pas scandaleux, tant qu’il n’y a pas de plans sociaux d’embauche. Si on peut dire…que les galères voguent sur “les eaux glacées du calcul égoïste” (Karl Marx) et que ces eaux sont infectées.
Chaque époque a son combat social, nous avons vu que les contrastes, peuvent aisément être transformées en sommes à un degré de liberté.
Nous sommes confrontés à des données très improbables, mais dans le sens attendu. Savoir comme éviter ce type de situation, et préciser que nous n’oublions pas que, si les test impliquent également une perte.
Une campagne visant à convaincre de que cette situation incite à opter un certain sens en cas d’erreur.
Et si nous nous limiterons à ce type de test il n’y a néanmoins pas de règles fixes, quant à la différence des erreurs perçus par le sujet dans son cadre social, sont des mesures du stress et des symptômes.
En Amérique, et dans le monde, c’est aussi le portrait poignant d’un virus et la façon dont il à survécu et là emporté.