ÊTRES DE RAISON
Un jour de canicule, en 1990, Madrid.
Mon professeur de philosophie et moi on se sont cette chaleur qui s’étalé autour des pieds, on se précipité s’asseoir au frais au café près de l’Hôtel de Ville. Au tours d’une bière fraîche et des olives nous parlions.
Pour commencer j’avais une question:
-” Le bien et le mal appartient aux êtres de raison?”
Carlos l’enseignent m’a dit avec son style particulier:
-“Ah! C’est une bonne question qui mérite réflexion!
Mais facile de répondre Marco; considérant que le bien et le mal ne sont autre chose que des relations…
Or ne dit qu’un homme est mauvais que pour rapport à un autre qui est meilleur; ont peut pas savoir si il est bon ou meilleur si c’est n’est pas en comparaison avec quelqu’un qui est mauvaise.
À ce moment je m’exclame:
“Mais quelle est l’idée en général que nous avons de cette sorte, c’est une idée particulière?”.
L’enseignent répond:
-“Une personne parfaite dans l’ensemble général, elles n’oserais pas!
Or le bien et le mal ne sont pas définis indépendamment de l’essence. La théorie de que ce sont d’atributes pensant en ce qu’il a reconnu ou d’autre part, tout ce qu’il a défigure.
Cette à dire, quand il trouve la raison, lui dit de croire sûr l’expérience, ce n’est pas une règle pour tout le monde, puisque l’opinion est sujette à l’erreur!
Ce pourquoi nous avons et nous commenceront à rechercher les quelles sont raisonnables, ou déraisonnables! Et faire nous opinions”.
Ce jour-là je me suis dit que les gens qui prêchent la colère tend toujours à la dévastation, à l’anéantissement, ce qui est l’imperfection même, vides de raison, des êtres sans raison.