LA LETTRE
Cette lettre est pour mon cher amie qui est reste la bas. Berne,18 de septembre, 1943. Bien que exercent une profession social certain et garantissant, à l’age de 56 ans, je veux, mon ami, t’offrir depuis longtemps, mes pensées susceptibles d’éclairer les susceptibilités des ressorts caches de l’humanité. Je établie un carrier dans la psychiatrie, mais la souffrance ne ma pas épargné, arrêté par la Gestapo, en 1941, la plus part de mes écrits furent confisqués, la ruine était là, et je ne pouvais plus exercer.
Car, le plan de l’époque était de detruir toute expression positive et “humaine”. En 1942 je me suis installe définitivement, dans un région thermale, en Suisse, pour certains, les expériences pénibles de la vie agissent de même façon. L’idée enfantine de que les humains ne sont rien de plus que développés pour la vie seulement pour procréer, ,et conduire l’existence dans la ligne d’un animal, se n’est pas le développement actuel de l’humanité. L’intellect nous à été accordé pour pouvoir nous servir, en effet, consciemment ou inconsciemment nous allons endures les conséquences. Cela mène à la conclusion que notre conscience est la lentille par la quelle un être humain peut percevoir.
Je suis objective, ma morale et enfin demeure, dominé par une exaltation de l’ego, et je me suis pose la question , qu’attends-nous?. Je attend des avantages terrestres!. Le semblable ne peut être compris que par le semblable!, Les voix erratiques sont les périodes ou l’on se permet tout “-on veut dominer le monde”-. Ces “maîtres” là, qui se rendent fous, son des imbéciles. Ils ont de raisons intérieures insupportables, dans leur animalité. Mon amie, ne parle à personne de ce que je te raconte, tu pourrais aussi attirer de courants hostiles, susceptibles de te nuire et te mettre en péril. Ma lettre est pour moi encore une méthode que je peux employer pour mieux te connaitre. Je veux te montrer de quel point proviennent les tempêtes de la vie. Garde mon courrier, car mes lettres ne seront compris qu’a la fin de cette siècle.
Dans l’espoir de nous rencontrer, à nouveau, je te suette tout le bonheur du monde.