LA LICORNE
J’ai veux commercer une histoire, j’évalue de la construire sur un pont, où les bêtes de somme et les pauvres irons à pie. Nul ne doit se étonner si c’est exagéré . J’ai imaginé son visage s’éclairer, je comprends aisément quelle brûlait de la tromperie, comme elle avait l’habitude, pour cette raison, elle changea de apparence et elle quitta sa maison et alla jusqu’à la ville. Où elle resta à attendre le moment. Son cœur frémissait de colère, comprit vite que les humaines ne la voyait pas, et se réfugie parmi eux, mais fit preuve de beaucoup de sagesse, manger et boire copieusement, en prenant son temps, avant de bouger.
La licorne est très fort, aucun chasseur peut tenter de prendre la bête. Avec sa forme humaine, et apparut au visage du monde. Elle commence à contempler la bataille si violente, les combattants s’étaient munis des nombreuses armes, ils proclament le “prince des chevaliers”.
La licorne commence à les regarder et se met à rire. La vue de cette scène étonnante, elle met la main à l’épée, se lance au milieu des combattants, commence à frapper à droit et à gauche, les adversaires prennent la fuit, et reviennent au château où les habitants du pays. L’image de la licorne est apparu, une image fluorescente, parfois fortement lie à croyances ,règles morales, sans d’ailleurs remettre en cause l’ordre social. Elle explique aux chevaliers, en général, conventionnels, encore qu’elle faille garder son image de licorne, exclama, qu’elle est fatigue des rusés, qui nous laissent le plus suivant à des frontières. La malédiction et plaisanteries de l’humeur des fabliaux.
-“J’ai n’ai que ce que vous pouvez voir sur moi”. “Personne ne me tend la main, personne ne me donne rien”. “Je vis au milieu de toutes les richesses du monde, et il n’y en a pas une pour moi, je n’ai que ce que vous pouvez voir sur moi”.”Vous est plus dure que l’enfer, Je vous informe d’une grand tromperie qui vous est fait en ce monde”. Ce lui qui trouve la source de la vie, du pouvoir et de la souveraineté, de la science de tout, du bien et du mal!. D’abord, prend-le, et donne-le, ne craigne rien. Ce sera stupide de tarder.
Fin