LES MURS
Il avait dans ce visage quelque chose, trace d’épreuves que cachait son sourire, Hadji gardait l’air impénétrable, son silence, et le bruit assourdi de ces pas sur la route, produisaient sur lui une torpeur pour se munir de nourriture. Un femme lui offre un sac pleine des sandwiches, et fait un signe de la croix. Hadji, qui voyait une maniéré de cacher ses mérites, lui, il pense qu’il ne croit pas aux miracles depuis longtemps, il dort au milieu de l’immensité, où les heures sont pénibles, et qu’il marche le jour, pour ne pas aggraver l’irritant spectacle de son désespoir.
En revanche, quand une personne lui donne un regard méprisant, il se disait que les habitants sortent de leurs maisons aveugles, avec la grand irritation de refuser la moindre sympathie. Hadji, pense, que un jour nous touts serons égaux et libres, ça lui donne la force d’affronter les épreuves de son destin. Dans les chemins délivré de tout, lui aurait l’audace, aussi longtemps qu’il le faut, il prend cela comme un défi.
Croyez-vous ce qu’il pense?, il veut se convaincre, car accepter le contraire lui ferait perdre ses moyens. Il se dit que le jour qu’il aurait force la porte dans le ciel, il écoutera ce qu’il veut entendre. C’est dans son équipage.
Les murs, sont à l’auteur d’un homme, sur l’influence, grandissait des nouveaux murs chaotiques, pour faire l’exemple de son monde. Cette , peut-être , le rêve d’un homme qui veut prendre possession des rêves d’autres hommes, qui n’a pas échappé facilement. Il était, et jugeait être désormais hors de portée des vengeances Où il venait voir de loin ces êtres des tribus, qu’il regardé avec beaucoup de crainte, a fin que rien change auteur de lui.
Hadji, se dit, qu’il voulait mieux poursuivre la route, il était facile de voir que les marchands ils voulaient arriver vite, et que la vie ne pourrait être compté, à les yeux des passants, simplement qu’une perte de temps.
“L’ignorance est la mère de touts les crimes. Un crime est, avant tout un manque de raisonnement”. Honoré de Balzac.