LES PRATIQUES ET LE BIEN COLLECTIF

16 déc. 2020

Les pratiques de libre-échange intégral, censée réduire le bien-être collectif a un ampleur trop modeste par ses méfaits supposes  pour susciter une résistance des catégories lésées, et qu’elles ont un soutien des lobbies industrielles pour remplir les caisses de l’Etat.Les Etats mercantilistes ne veulent renoncer aux recettes fiscales de douanes et ne pas affronter la pression des groupes qui sont aussi de donateurs des partis politiques. La nature du libéralisme à la liberté de faire, dans un grand puissance, se que lui semble bon pour elle- même.

La protection des producteurs nationaux son en fait des politiques de redistribution du revenu national; entre les producteurs, les consommateurs et l’Etat guides dans le sens de leur intérêt politique. Ce qui est perdu ici est gagne là, un simple bilan monétaire, donc les atteintes à l’environnement, la pression psychologique sur les salaires, favorise la compétitivité, c’est le secrète de la libre-échange.

Donc le protectionnisme engendre des coûts pour le peuple, et trouvent leur avantage et tentent de faire croire que  c’est pour le bien commun; voila l’invention, que le vote de le citoyens pour faire légitimer les choix publiques. Grace à l’information et du pouvoir effectif des votes, et pour ne pas distribuer le revenu national, utilisent les politiques commerciales, elles peuvent distribuer le revenu mondial aux avantages et coûts monétaires.

Le profit n’est pas équitable et non plu réparti  entre nations, au contraire, des rapports illustrées, à un concours de force très inégal et adapté à un compétition inégal. La libre-échange n’est pas la juste répartition, si non à soutenir le commerce développé à touts les pays, même les plus pouvres. Les plus pouvres seraient de plus en plus pouvres, parce que le libre-échange ne montre pas une amélioration. Le champs aux politiciens est ouverte, puisque les seuls à négocier peuvent traiter la justice.

Donc, le débat sociale public s’inquiète, et le degré actuel c’est l’évidence.

 

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