Mme Taylor
Mme Taylor Myriam, était une femme pas loin de la cinquantaine, elle semblait immunisée contre les outrages du temps, gardant intacts touts ses charmes. Dés leur rencontre , elle avait compris qu’il était un homme pas près d’oublier. Avec lui, se croyait projeté dix années en arrière , à peine qu’il l’avait aperçue, qu’il était entiché d’elle, de lendemain il l’avait invitée à diner en tête à tête dans son appartements privés.
Rien n’avait été trop veau pour la séduire, la sublime à l’extraordinaire luminosité, et puis comme à l’accoutumé, le temps, s’il arrivée encore à la regarder, il l’appelait de plus en plus en temps espacées. Il l’avait promis que jamais aucune femme ne lui avait procuré autant de plaisir, où l’amour était universel! il le répétait à chaque fois!.
Ses yeux de braises l’avaient magnétisé à Mme Taylor, engoncée dans ses paroles . Bien éprise de sa liberté, elle ne voulait pas changer de vie, fût-elle conforme à ses convictions:
– Je n’ai pas hésité lorsqu’il ma demandé de l’argent!
– Vous-voulez parler de ça?, Mme …il fut pas avoir de la honte…! s’était exclamé le policier, avant d’être interrompu par l’arrivée du commissaire.
-Ce qui va arriver? soupira-t-elle!
-Porter plainte!, Mme! nous allons lui donner rendez-vous au commissariat, il ne sera pas difficile de lui faire avouer!
Alors, pour se donner de courage, Mme Taylor, signé la plainte, et rentrée chez elle, nos sans laisser tomber ses larmes. Sur le chemin de sa maison, elle se dit: “Ceux qui se laissent entraîner par le courant du fleuve, et se mettent à lutter, finissent par s’y noyer. Ceux qui sont forts, ils restent vivants”.
Elle est plain de courage, d’espoir et de sagesse, dans une vie désormais incapable de dire à quoi ressemblerait son destin. Bredouilla-t-elle, bien décidé à gagner du temps. “Quelle que soit la longueur du fleuve….elle était prête à partir au bout du monde”.