MOI ET ELLE
Je comprenais que je savais rien de l’être le plus intimement mêle a ma vie. Et je ne connaissais que la seule parti apparente, je refusais, protestais, sans lever la voix, a cause de ces fenêtres ouvertes la nuit. Peu être, comprit-elle que je voulais prouver le contraire de un mauviette. D’un geste violent, je prend le drap sur moi, elle est reparti dans un soupir, laissant claquer la porte!, et le sentiment de défaite m’accablait.
Je roulait interminablement sur moi-même, jus-quoi m’endormir. Le lendemain, au réveille, je l’entendis parler en espagnol, surpris de constater en elle une certain bonne humeur. Elle était pleine de secrets!, et comme à la costumée elle embrassa sur les lèvres, moi aussi, je me forcé à paraître naturel, allons-nous, nous comporter comme deux adversaires qui épient et cachent leur jeu?. Cependant toutes mes pensées ne cessaient de tourner dans ma tête, elle fait le lit, rangé la chambre, je préparé le café, les tartines, les fruits, tout sur la table, je l’attend. C’était un jour lumineux, cependant, il entrait dans ma joie une imperfection sensible.
Je comprenais que j’aurais pas du la laisser partir sans lui parler, sans lui dire certains mots, après tout je n’étais pas sûr qu’elle allait me quitter seulement si l’occasion s’en présentait!. Je m’approche de la salle de bain, je écoute la douche, elle prend un douche, alors j’ai regarde par la porte qui est entre ouverte, je la vois en se savonnant son corps, tout plain de mousse. A cette idée, je vais à sa rencontre, je compris que rien étais compromis. Sa magie, ma soulage, aucun parcelle ne m’échappait, elle était là. La vie reprit pour moi, persuade que ce nuance était importé. Peut importé!, on s’emporté, par touts les espoirs, par tous les désirs.
On avait décide que on pouvais- nous entendre, Quant à remettre ce projet à plus tard, il n’y fallait point songer. Tout est prévu, calculé, minute, dans cette passion aveugle pour la vie. Neuf mois plus tard! notre premier enfant est né.