UN RÊVE À LIVERPOOL
Kelly c’est la nouvelle femme de ménage par intérim, dans une agence de publicité, dans la ville de Liverpool, où Murphy est le directeur de cette agence.
Kelly est et apparu avec un torchon à la main et un seau d’eau dans l’autre. La tête, les cheveux bouclés sur son visage féminin, aux joues roses, et des yeux bleues écarquillaient sur des sourcils blondes, ses lèvres, avec un sourire d’accueil, sa voix aussi agréable que son visage.
Murphy, est intriguée au plus haut point de sa personnalité, ses formes, lui lissait perplexe en excitant sa sympathie. L’arrivée inopinée d’Kelly l’avait intriguée.
L’agence avait une grand pièce claire et au fond s’ouvraient deux autres salles, des grands miroirs, s’y reflétaient bien. Kelly traversa la salle, consciente du regard de Murphy, qui s’était silencieux en la voyant.
Kelly voulait s’amuser un peu, elle posa son torchon et s’appuya sur le mur; Murphy la regarde, et commence à rêver, qu’elle lui dit eu bout d’un long silence:
-Voyons,mon petit, pourquoi ne me dites-vous pas ce que vous avez sur le cœur?
Kelly sent le regard de Murphy fondre son corps. Kelly hocher la tête, incapable de dire d’avantage et elle hasarda timidement. Un moment plus tard, elle sourit d’un air de triomphe.
Mais, Murphy pense…Qu’est-ce que je manque maintenant? suis je un animal Irlandais? beau dire qu’elle à l’aire convenable. Je ne roule pas sur l’or, je contient tout ma fortune jusqu’au dernier sou, dans ce cas il n’y a pas de quoi s’affoler. Oui, je me débrouillerai!
Kelly se dit qu’elle est sûre que s’arrangerai avec lui. Kelly avait vu juste: la révélation qu’elle venait de lui faire n’avait pas choqué Murphy, il ne portait sur elle aucun jugement de moralité. Murphy était trop au fait des faiblesses de la chair et enclin à la tolérance, inculqué par son éducation Irlandaise.
Avec tout la personne de Kelly, respirait la douceur et la fermeté de caractère qu’il avait appris à aimer. Se dit-il en l’observant avec attention. Kelly correspondait bien à sa nature femenine.
En ce vendredi à trois heure de l’après-midi, le ciel roulait, le silence était total, et le soleil avait une lumière sourde. Mais elle remarqué tant sa joie était grande, à qui elle n’avait cessé de penser ces derniers jours. Et que ses efforts étaient couronnés de succès.