DES LARMES

La pièce dans la quelle passait ses journées à écouter les ragots des uns et des autres, elle se immunisait contre les outrages du temps.

Toute fois , ne pas laisser paraitre le moindre panique et ne pas voir une montagne aussi bien sculpée, le laisse le temps pour le moment ou elle découvrit la réalité, des faits réelles qui donnée forme a un cruautés dans le monde.

Mais la perspective de devenir membre d'une société et de lier son destin à celui d'un homme aussi fou ne l'enchanté guerre.

Elle était bien trop éprise de liberté au profit d'un individu que les hommes étaient censés se laisser manouvres comme des vulgaires marionnettes.

Ce ne était pas le moment d'aller se jeter dans le bras d'une divinité à laquelle ne

convenait tout sacrifier.

C'était la fois qu'elle pense comme un être humain à part entière.

Il était huit heure de matin, dehors un soleil que hantait ses majestueux bâtiments. et l'apparence d'un Londres qui était apparue comme un ville sinistre, hostile.

Barbara, réagit dans un désarroi extrême quand elle vois ces enfants orphelins et seuls au monde dans un pais si loin.

Comme si la religion avait un crayon maléfique. Laisse apparaitre

la vérité, connu com le loup blanc. Et un soleil insistant avait réussi à percer et faire finir la nappe de brune à Londres.

Au Moyen Age la cruauté permet a un hêtre humain, éprouvant l'indifférences envers ses victimes. Ce qui nous touche pas aujourd'hui, personne peut garantir

qui nous arrive demain.

Voir un manipulation suivi a la tentation demeure aux écrans, donc les politiques essaient de jouer sur d'autres tableaux. Les réseaux sociaux en vertu a ceux qui s'en prêtent en quasi- complices déjà en faveur d'un routine de la vie.

Un routine dramatique.

Je croix en toi, l'humanité.