LA DÉFLATION POLITIQUE
Pour Jules, qui pris goût à la liberté, cette incursion politique est intolérable, En catastrophe, il pense ¨ Je n’ai aucune confiance dans les politique¨. Il pense que les employés garderons tous leurs privilèges.
La situation unique au monde dont on se demande si elle résistera au temps. Le gouvernement donne le sentiment de piloter à la hussarde.
Le droit d’intervenir sur rien, puisque quelques haut fonctionnaires et passés par les cabines ministériels continuent d’avoir la haute main sur le système. Certes, cela a existé de tout temps.
Certains choix, le gouvernement ne s’adapte pas à son époque, car un groupe de personnes dirigent et nomment selon leur bon plaisir. Accumulant erreurs face à des gouvernements qui exigent d’eux tout et n’importe quoi.
Un gouffre! Qui en paye le prix? , On apprend que le gouvernement refloue aux frais de la collectivité tout entière et les salariés sont sur les dents. Les services de maintient d’un service public en changement de statut.
Notamment le réajustement social et humain, dont un groupe de personnes, les patrons incompétents avec chauffeur, secrétaire et voyages en premier classe.
Le vainqueur de l’élection, en ayant rompu brutalement avec son discours de campagne en affirmant, en évoquant maladroitement pour torpiller la réforme.
Alexandre Herzen disait à propos des Français:
” Par tout ce n’est que dualisme, abstraction, moralisme, vertus obligatoires et rhétoriques, sans relation aucune avec la vie la vrai vie”.
Pour Jules il a été question d’élites et de crise de civilisation.