LE FANTÔME
J’ai rencontre un fantôme au château de la Flambelle de Toulouse, comme et le pourquoi, c’est sans importance. J’ai eu un fascination pour lui, avec son grand visage, un personnage démesuré, aussi surprenant qu’un fantôme qui marche dans l’ombre, et qui m’a raconté son histoire. Qui m’a avoue la comédie humaine si révélateur, à un époque. En 1780, Henri est née dans un milieu modeste, sa vivacité lui conduit a la lecture, qui devient un passion, il est engagé dans un cabinet d’un notaire, il approfondi ses compétences, ce que son ascension et sa fortune fait sa réputation.
Célibataire endurci, mais il veut avoir une femme avec l’éducation rigoureuse de l’époque, elle doit savoir faire de belle écriture, des travaux de couture, tricot, dentelle, et nettoyer sa chambre et lui cette l’avenir matériel du couple. Ce du moins ce qui se dit, a la veille de ses noces, il était l’homme le plus heureux. Or, très vite, elle devient autoritaire, frivole, être une jeune épouse d’un jeune notaire, qu’elle se flattera de chance qu’elle bénéficie, ils nagent dans l’opulence et la respectabilité.
Elle prend son rôle très au sérieux, et les jours se déroulent dans un silence glacial, le moindres méfaits qu’ils ont pu commettre dans la journée. Peut après, elle annonce qu’elle est enceinte, a-t-il soupçonné l’infidélité de sa femme? En attendant, il subit les événements, d’ailleurs, elle est abonnée à la religion avec la respectabilité bourgeoise, et pour cela est régulièrement à l’église. quelques mois plus tard, elle donne naissance un enfant, le père légitime et le père naturel en sont présent.
Mais, les tourments de sa femme, pour ne penser qu’a un réussite de ses amours pas avouées, et avec orgueil sa réussite véritable recours contre les vicissitudes de la vie pendant la haute société. Au vrai, Henri, il se considéré comme étant moins pour sa femme, et embarrasse par des questions insolentes, se mit en colère et il a fit donner dix-ans de prison, pour l’avoir trompé pendant l’enseignement du catéchisme. Ce qu’elle souffrira la discipline de l’enfer.
Nul ne lui a encore donné un telle pitié pour sa personne! Dans un absolue dénuement, qu’il écrit à Napoléon, car, le code Napoléon à interdit la recherche de paternité. Aucun suite n’est donnée à sa requête. Depuis, il à une activité intense, au milieu de ses obligations, qu’il en arrive à se croire au bord de la folie, qu’il ressemblait à ces somnambules que marchent dans la nuit, et il se tiré un balle sur le toit de sa maison. Il voulait, d’un fois en finir les reproches que lui tournent dans la tête.
Tel apparaît et tel il surgit, crient de vérité, dans les couloirs son destin chaotique, il souffre encore, son énorme naïveté, puisque ne peut se déplacer, ne peut quitter son château.N’était plus que l’ombre, le visage d’une pâleur tombale.