LE JOUR "J", et les jours après...
Ce jour-là, la télévision de la hiérarchie et mit en alerte.
Les radars tournaient inlassablement leurs grilles; leurs armes à porté de la main, des milliers des soldats, et des divisions; l’arme attendait de pied ferme les Gilets Jaunes à l’avenue des Champs -Élysées.
Le sort semblait jeté.
L’opération commença au cours de la nuit du vendredi à samedi.
Le but de attirer le mouvement, encore il fut espérer que le temps fût favorable.
Après, telle était donc la conception de la façon dont la campagne devrais se développer; les experts estimaient que plus de 50.000 Français ont perdu la vie, au cours des affrontements stratégiques.
Car, couper les vois ne servaient à rien; elles seront trop vite rétablies.
En France des nombreuses victimes, mais les résultats militaires justifieront la décision prise; le peuple de France accepta ses souffrances et ses tribulations avec le réalisme d’une nation sombre.
Les blessés ne eussent pas être d’un autre avis, et ne manqueront pas quand on les transféra de leur dans les camps de concentration.
La S.N.C.F expédié en deux ou trois jours un million de Parisiens, il suffit de multiplier le nombre de trains au départ de Paris. Dès ce moment, un événement si longtemps attendu pour le élites, qu’il semblait ne plus avoir de réalité.
Le sentiment de méprise, la peur, la faim, ne suffirent pas…
Mais ces hommes et femmes, ce sentaient plus unis que des frères. Le jour qui allaient partager le même sort.
L’anecdote du petit enfant qui creuse un trou, ne sait que faire de la terre, creuse un second trou pour mettre la terre du premier, serait raconté des années plus tard.
Une invasion se déroule en deux temps, aux divisions débarquées le jour “J”, s’ajoutent les divisions du jour J2 et J3 etc…
En ce temps de guerre civile, les questions de rentabilité ne se posent pas, on ne se préoccupe pas de la facture. Simple, n’est-ce pas?, mais chaque guerre est un monstre encombrant, et l’autre moitié? Toujours la simplification du temps de guerre.
Les français guettent derrière leurs volets l’arrivée des Libérateurs.