LE SILENCE DE MARCIA
Marcia ne connaît ni hauteur ni profondeur, elle demeure dans le silence, touché par la peur, le doute, l’inquiétude et les tourments quotidiens. Lors qu’elle rentre dans un profonde silence au fond de l’océan, où tout n’est que calme et tranquillité. La concentration est la flèche, elle a terriblement besoin.
Le silence n’est pas une échappatoire, c’est l’acceptation d’une vie qu’elle n’a pas accepté au préalable; elle écrit sur la table de la cuisine:
“J’ai traversé les voies de la vie, mon esprit conscient, ma bouche muet au temps et l’action”. Elle écrit en silence.”La vie ne peut être qu’une période entre la naissance et l’éternité même; nous pouvons à transcender nos limitations et notre esclavage”.
Pour une femme à l’âge de trente ans son silence, c’est une femme qui demandé de l’attention! se dit-elle:
“O trésor de ma vision, sort de mon cœur le silence, toutefois, sachant cela, je continue, jour et nuit. Sort de mon cœur le silence. Le flot de la libération s’unira au cœur de notre monde”.
Parce l’on sent qu’elle existe en soi quelque chose d’intense, elle requiert un effort, au même temps, elle doit être assez vigilant pour ne se laisser distraire. La doute, l’angoisse, elle sera bientôt piétinée, écrasée avant de commencer le dîner.
La victime dans l’immensité du silence.
Un femme sur deux décède sur les coups de son conjoint, la violence conjugal est d’avantage un sujet tabu. Un isolement social voire aller jusqu’à la mort.