SHAKESPEARIENS
En 1620 on aurais aperçus quelques difficultés et d’erreurs sur la publication d’une pièce nuisant aux intérêts des fragments au vol rapporteur retenus par la mémoire d’un rapporteur. Il se bonnes à rassembler les textes. Ils se son trompé de cassier, ont mal lu le manuscrit, mal compris, ou entendu les mots dictés et ils ont imprime les vers comme de texte des inscriptions, qui ont donné a pas mal des énigmes, malgré les rectifications du siècle XVIII. Ils se sont consacre à la tache, à travers les controverses pour établir et distinguer
Ce qui est shakespearien dans le texte qui nous à légué son auteur, dans le temps, le pays ils l’on remplace et lire les chapitres pour offrir la spiritualité que le temps donne une intéressant étude sur les textes de Shakespeare, car les milieux catholiques ils ont quelque chose à voire et reste indispensable pour qui veut apprécier la complexité de les problèmes de texte.
La traduction française de François Victor Hugo donnait des critiques pour des erreurs caractéristiques et des expressions ou équivoques. Mais il nous laisse un travail étendu de l’ouvre d’un homme qui consacre d’années de sa vie. La tragédie de Macbeth en et par la premier fois publié par Heminge et Condell, le texte est plain de contradictions. La plu part est des insertions des chansons empruntés, mais on n’en posede aucun preuve décisive.
C’est pourquoi François Victor Hugo convient particulièrement à Macbeth, pour éviter tout gêne aux lecteurs qui voudraient comparer la traduction ou d’autres versions françaises. Macbeth , un drame de l’ambition. C’est une pièces les plus courtes de Shakespeare. Si ont aurait été le 20 avril de 1610 au théâtre du Globe ont aurait développé la partie magique des chansons empruntes on remarquera que ce qui pouvait servir de prétexte à la musique et aux danses.
Sans se perdre dans son atmosphère, la poésie de Macbeth à des teintes sombres mais ardentes, car c’est l’opposition du blanc ou du noire. Shakespeare nous libre une de plus graves méditations sur la destinée humaine.
Scène XVI : première sorcière
– Versons le sang d’une truie qui à mangé ses neuf pourceaux; prenons de la graisse qui à suinté du gibet d’un meurtrier, et jetons-la dans la flamme.
Toutes trois.-Viens sprit supérieur ou inférieur, et montre-toi adroit dans ton ouvre.
Macbeth.-Dis moi , puissance inconnue…
Premier sorcière.- Il connait ta pensée. Ecoute ses paroles, mais ne dit rien.
Le fantôme.-Macbeth! Macbeth!Macbeth! défie-toi de Macduff! défie-toi du thanede fife!…Renvoyez-moi. C’est assez.
Le fantôme redescend.
Si vous voulais lire Shakespeare, bon courage.