XIXe SIÈCLE. JULES CHARMANT
Un homme, vif d’esprit, et du corps, audacieux, brillant, il appartenais à une lignée, voici son histoire:
Une multitude d’oiseaux pillant très haut dans la nuit, je flottait au rythme de ces lentes battements d’ailes. Dans la chambre la cheminée nous éclairait de loin. Mais à un heure pareille des confidences véritables entre nous, j’avais l’impression. Son regard se posé sur moi, que je semblait flotter devant elle, elle parle à voix bas, comme si elle craignait qu’on pût l’entendre:
-Vous avez assez chaud?
-Oui, (un oui circonspect).
Elle envisage de devenir la femme, je me suis fait l’ignorant. Elle originaire d’Andalousie, moi parisien. Lendemain elle parle espagnol avec le chien couche au milieu de la chambre. La chambre était pleine de secrets, elle jeta de la cendre sur les braises pour aviver le feu. Je m’étais efforcé à paraître naturel, cependant, il entrait dans ma joie une imperfection sensible.
Elle avait cette allure de femme de maison, avec une voix parfois de malignité. J’ai constaté qu’elle avait de l’imagination un peu folle. Mais..pour moi… Tout était prévu, calculé, comme des spectacles d’opérette, comme le “Compte de Luxembourg”, ou “L’heure légère”, qui qualifiait mon sprit. J’avais un autre projet, que je préféré un autre compagnie!
Elle demanda:
-Vous ne allez pas sortir d’ ici?
-Pourquoi pas?
-Mais qu’est-ce que vous avez?
Je la regardé en silence, tandis que dehors flambait le soleil! Ce fut mon image qui se montra, et cette vision auréolé de feu, que je décidait d’aller au hasard. D’errer seul, pour éviter d’avoir les pieds brûles! Je prends la fuite du sol en avant de mes yeux! Décidé à réformer mon comportement et à civiliser mes maniérés et mes fréquentations. Je recherche un autre représentation pour un homme charmant.